vendredi 20 juin 2008

guerre : voltaire

il dénonce l'absolutisme et la religion ainsi que l'absurdité de la guerre et de ses effets.


il me semble que j'ai répondu à tous ; si ce n'est pas le cas merci de reposer vos questions

à bientôt !

13 commentaires:

Anonyme a dit…

bonjour mme je voudrais vous dire que je pense que le bac s est bine passe
j'espere obtenir la moyenne
:p
maintenant plus qu une derniere ligne droite l oral.

Anonyme a dit…

desole je me corrige je voulais
et le bac s'est bien passé
desole pour les accents

Anonyme a dit…

Bonsoir Madame, merci pour vos réponses. Mais il y a encore des points que j'aimerais que vous m'éclaircisiez.
D'abord, dans histoire d'un bon bramin je n'ai pas compris que la vie plus le contexte philosophique soit un but de Voltaire; je comprends pas l'histoire du fatalisme non plus.
Ensuite, je ne comprends pas encore les paraboles bibliques dans la Controverse.
Après, sur l'évolution de la perception de l'Eglise dans l'extrait 3 de la Controverse je ne comprends pas le lien à l'image et à la vision, ni le lien avec les textes et le silence ni les croyances plus populaires.
Pour finir, comment rapprocher chaque texte des problématiques que vous nous avez donné?
Merci d'avance.
Sergi

Clémentine Bernard et Emilie Balavoine - Toulouse a dit…

Bonjour,

je suis contente Byron que l'écrit se soit bien passé ; cela doit te motiver pour réviser l'oral !

Sergi,
voici des réponses concernant la philosophie dans un bon bramin (copié collé de ma préparation)
Comme dans les œuvres précédemment citées, les questions philosophiques se ramènent aux préoccupations fondamentales de Voltaire
rejet du métaphysique
présence du mal sur terre :
rejet du religieux et des arguties (« bla-bla ») inutiles des intellectuels
Les questions posées dans le texte concernent le débat philosophique européen jusque dans les moindres termes : « automate » est un terme cartésien (de Descartes) qui renvoie à la notion de liberté c’est-à-dire de libre arbitre, faculté de raisonner et de choisir raisonnablement. (automate : pantin, opposition à l’homme raisonnable)
Descartes voit, dans les méditations physiques, des chapeaux, par la fenêtre, passer dans la rue et se demande ce qu’il y a en dessous si ce sont des êtres pensants ou des automates.
La question de la présence du mal sur terre (développée dans Candide) se réfère à un ouvrage de Leibnitz, La Théodicée (mot à mot « la justice divine ») qui développe l’idée d’un mal nécessaire à la perfection d’un monde régi par la grâce divine comme les ombres sont nécessaires à l’harmonie générale d’un tableau

En outre, la figure du bon bramin qui au bout de quarante années de recherches et d’études ne sait qu’une chose c’est qu’il ne sait « ni d’où il vient ni ce qu’il est, ni où il ira… » ne sait qu’une chose c’est qu’il ne sait rien : figure socratique

Donc sous le vernis orientaliste, les préoccupations sont universelles.


le fatalisme
wikipédia
Le terme de fatalisme est formé sur la racine fatum[1], qui désigne en latin « destin », comme le terme fatalité. Est donc « fataliste » celui qui croit à une nécessité fatale, c’est-à-dire exclusive de toute liberté et s’imposant irrémédiablement à l’homme. Au sens commun, le fatalisme désigne par conséquent la croyance en la détermination des événements (prédéterminisme) par des causes indépendantes de la volonté humaine, qu’il s’agisse de Dieu, de la nécessité naturelle ou des lois gouvernant l’histoire. En une moindre mesure et dans un registre moins philosophique, peut être fataliste celui qui se sent voué à l'échec

la controverse : utilisation de paraboles pour montrer que les personnages parlent comme des catholiquess qui connaissent leurs textes ; de plus les paraboles étaient utilisées très souvent dans la vie quotidienne;
Dans le texte 3 ce que compte est ce que l'on voit or autrefois quand les personnes ne savaient pas lire pour leur montrer la puissance de la religion, on leur montrait de grandes biblies illustrés qui leur faisaient forte impression.

Je ne comprends pas ta dernière question ; essaye de me proposer une réponse afin que je comprenne où tu veux en venir.

Anonyme a dit…

Bonjour Madame, tout d'abord merci beaucoup pour vos réponses.
J'ai compris la notion de fatalisme mais je ne vois pas dans quel endroit d'histoire d'un bon bramin cette notion apparaît.
Ensuite, pour le texte 3 de la Controverse je ne compreds pas comment les croyances plus populaires font que la vision de l'Eglise soit péjorative et criticable.
Pour finir, je voulais vous dire comment répondre aux problématiques que vous nous avez posés pour chaque séquence.
Merci d'avance.
Sergi

Anonyme a dit…

Bonjour madame, je ne sais pas si vous avez oublie mais je vous avais demandé si vous pouviez m'expliquer pour le dernier texte de sartre le lien entre le III)UNE NOUVELLE VISION DU MONDE et les sous parties A)LA GENE DU SPECTATEUR et B)LEFONCTIONNEMENT DE LA PENSEE.
Merci d'avance, Soraya

Anonyme a dit…

bonjour mme balavoine
je viens de remarquer une
erreur dans la consolation a Mr du perier si tout ceux qui lise ce message peuvent trasmettre qu il manque "eu" dans le vers elle eut plus d'accueil
merci

Anonyme a dit…

Bonjour madame,
J’aimerais savoir quels types de question vous avez posé a ceux qui ont passer l'oral et si possible avec quelques réponses.
Merci d'avance.
Jonathan

Anonyme a dit…

Bonjour à nouveau Madame!
Je ne comprends pas non plus quels sont les indices qui montrent que Voltaire critique la religion et les institutions dans histoire d'un bon bramin.
Merci d'avance.
Sergi

Anonyme a dit…

bonjour madame.
jo voulais vous posez une questios sur monsieur prudhomme avec le
panorama de la societe de l'epoque avec l'auteur¿?
merci
kevin

Clémentine Bernard et Emilie Balavoine - Toulouse a dit…

le bon bramin ne sait plus quoi faire : il est contraint d'accepter la situation telle qu elle est de même pour la sotte qui ne se pose pas de question.

pour la contoverse 3 les 2 points ne sont pas liés ils coexistent c'est tout.

il faut que tu cherches dans chaque texte les éléments qui répondent à la question de la séquence ; cela doit être simple.


Soraya, voici la réponse : Sartre présente une nouvelle vision du monde et des relations entre chaque homme au moyen des procédés présentés dans cette partie. Au besoin, voici le copié-collé de ma préparation :

III°] Une nouvelle vision du monde
1) La gêne du spectateur
- gêne du spect devant l’indécence de certaines répliques (E notamment)> faire réagir le spect.
- Comment ? …> Dans cet affrontement entre e, G , et I, l’impudence d’E éclate et nous, spect, pouvons partager la réaction d’I : « devant moi ? vous ne pouvez pas ». Donc le spect comprend la réaction d’I et se range de son côté d’une certaine manière.
- Sartre a gagné : un des thèmes essentiels de la pièce est perçu : l’amour d’un couple est impossible sous le regard d’autrui. Toute la problématique du « pour-autrui » en est éclairée.

2) Le fonctionnement de la pensée
- Le théâtre de sartre donne à voir le fonctionnement de la pensée hors de la solitude, dans les relations pour autrui : la seule conscience voit le monde et la pensée l’organise : Voir I : « tu es un lâche, Garcin, parce que je le veux…je ne suis rien que le regard qui te voit, que cette pensée incolore qui te pense »
- Dans ce passage, les subjectivités des 3 persos se choquent les unes contre les autres et révèlent leurs défauts : l’amour exprimé par E montre simplement un désir de possession / la colère d’I tente de convaincre les 2 autres / Pour G, par la peur, la sensation de l’en-soi du bronze le fige dans un lieu, peuplé des regards d’autrui qui font partie des autres. Cette agression du regard d’autrui, bourreau sujet de celui qu’il regarde et qu’il réduit à l’état d’objet, dévoile à G le fonctionnement de l’enfer : « pas besoin de gril, l’enfer, c’est las autres ».
- Du côté du spectateur : nous sommes les juges suprêmes de G et d’I et nous sommes placés devant un mythe qui nous ramène durement à notre conscience, un mythe qui, par l’hypothèse fantastique de base, cache, pour le révéler peu à peu, le drame de notre liberté dans le monde. Y verrons-nous, comme le désire l’auteur, notre obligation d’être dans le monde ?

Clémentine Bernard et Emilie Balavoine - Toulouse a dit…

le bramin cherche à être heureux grâce à ses travaux de philosophe et n'y arrive pas. Il a pourtant tou ca que chacun pense être propre à rendre heureux ; la bigote (péjoratif) est heuruse mùais sans raison réellement valable ; donc la religion ne rend pas non plus heureux.

beati pauperes spiritu ...
(heureux les pauvres d'esprit )

Clémentine Bernard et Emilie Balavoine - Toulouse a dit…

Kévin,
je n ai pas trop compris ta question don voici un essai de réponse
la société de l'époque est présente de plusieurs manières
politique / maire, juste milieu ...
goût des bougeois pour l'apparence et ce qui est mortifère (les pantoufles brillent et il aime les herbiers qui tuent les plantes)
social : mariage sans amour : monsieur Machin ...
présence en marge des poètes qui sont différents de cela.