comme promis
exemple de commentaire de roman
http://www.cmontmorency.qc.ca/~cpilote/id118.htm
des exercices à faire avant de s'endormir ( sous forme de quiz ou QCM!)
http://www.cmontmorency.qc.ca/~cpilote/id249.htm
et des fiches à créer au plus vite ...
http://membres.lycos.fr/marocagreg/doss/culture/roman.php
allez et n'oubliez de quoi manger (si besoin) durant l'épreuve !
à demain
mercredi 23 avril 2008
jeudi 17 avril 2008
Qu'est ce que le Parnasse ...
Voici une version synthétique de Wikipédia (fiche à faire ...)
Le Parnasse est un mouvement poétique apparu en France dans la seconde moitié du XIXe siècle qui jura de « remonter » l'art poétique sur le Parnasse d'où Lamartine l'avait fait descendre. (Le mont Parnasse, en Grèce, est la résidence traditionnelle des Muses dans la mythologie .)
Ce mouvement est une réaction devant les excès sentimentaux du romantisme.[1]
Il prône la retenue et l'impersonnalité,
Il rejette absolument l'engagement social et politique de l'artiste. Pour les Parnassiens l'art n'a pas à être utile ou vertueux et son seul but est la beauté. C'est la théorie de « l'art pour l'art » de Théophile Gautier.
Ce mouvement réhabilite aussi le travail acharné et minutieux de l'artiste - par opposition à l'inspiration immédiate du romantisme - et il utilise souvent la métaphore de la sculpture pour indiquer la résistance de la « matière poétique ».
De 1865 à 1895, le mouvement fut pratiqué par des « animateurs historiques, magiciens ès lettres et poètes impeccables », las des effusions romantiques, amateurs de rigueur technique, de mots rares et de perfection formelle.
Le Parnasse est un mouvement poétique apparu en France dans la seconde moitié du XIXe siècle qui jura de « remonter » l'art poétique sur le Parnasse d'où Lamartine l'avait fait descendre. (Le mont Parnasse, en Grèce, est la résidence traditionnelle des Muses dans la mythologie .)
Ce mouvement est une réaction devant les excès sentimentaux du romantisme.[1]
Il prône la retenue et l'impersonnalité,
Il rejette absolument l'engagement social et politique de l'artiste. Pour les Parnassiens l'art n'a pas à être utile ou vertueux et son seul but est la beauté. C'est la théorie de « l'art pour l'art » de Théophile Gautier.
Ce mouvement réhabilite aussi le travail acharné et minutieux de l'artiste - par opposition à l'inspiration immédiate du romantisme - et il utilise souvent la métaphore de la sculpture pour indiquer la résistance de la « matière poétique ».
De 1865 à 1895, le mouvement fut pratiqué par des « animateurs historiques, magiciens ès lettres et poètes impeccables », las des effusions romantiques, amateurs de rigueur technique, de mots rares et de perfection formelle.
pour Hercule
voici un autre site de questions comme promis
http://www.gratumstudium.com/latin/Hercule1.htm
rendez vous à 14 h 25 à l'entréee du Lycée
n'oubliez pas de réviser la Physique Chimie ...
http://www.gratumstudium.com/latin/Hercule1.htm
rendez vous à 14 h 25 à l'entréee du Lycée
n'oubliez pas de réviser la Physique Chimie ...
lundi 14 avril 2008
pour le bac blanc
a lire tranquillement mais c est parfait : de la théorie, des textes, de la culture ...
http://www.cafe.umontreal.ca/genres/p-romrea.html
http://www.cafe.umontreal.ca/genres/p-romrea.html
jeudi 10 avril 2008
pour le bac blanc !
voici le site dont je vous ai parlé et les pages qu'il faut mettre en fiche(s) au plus vite
http://www.site-magister.com/grouptxt4.htm
courage !
http://www.site-magister.com/grouptxt4.htm
courage !
lundi 7 avril 2008
monotone ...
Chanson d'automne
Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent mon coeur
D'une langueur
Monotone.
Tout suffocant
Et blême, quand
Sonne l'heure,
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure,
Et je m'en vais
Au vent mauvais
Qui m'emporte
Deçà, delà
Pareil à la
Feuille morte.
Paul VERLAINE, Poèmes saturniens (1866)
Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent mon coeur
D'une langueur
Monotone.
Tout suffocant
Et blême, quand
Sonne l'heure,
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure,
Et je m'en vais
Au vent mauvais
Qui m'emporte
Deçà, delà
Pareil à la
Feuille morte.
Paul VERLAINE, Poèmes saturniens (1866)
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