jeudi 25 octobre 2007

pour Kumar et ceux qui veulent d autres exercices de figures de style

http://fis.ucalgary.ca/fr/339/HotPot/figures2.htm

allez, bonnes vacances ¡¡¡

et un petit exercice interactif sur les homophones ¡

http://www.ccdmd.qc.ca/fr/exercices_interactifs/?id=1045&action=animer

(j aime bien l animation)

parce que l orientalisme c est aussi de tres jolis tableaux ...

reposez vos yeux avec ce site


http://orientaliste.free.fr/expovirt/index.html

comme promis...

allez courage voila les precisions sur Hume

(extrait de l article de wikipedia)

Hume argumente que la conduite immorale n'est pas telle en s'opposant à la raison. Il soutient que les croyances morales sont intrinsèquement motivées, puisque croire que tuer est un crime, c'est de ce fait être motivé par un principe moral interne à ne pas tuer et à blâmer ce crime. Il remarque alors que la raison seule ne peut rien motiver, elle découvre seulement des vérités de fait et de logique, et cela ne dépend que de nos désirs et préférences de savoir si ces vérités pourront nous inciter à l'action. La raison seule ne produit donc pas de croyance morale. Pour Hume, la morale repose ultimement sur le sentiment, la raison ne faisant que préparer la voie à nos jugements sensibles par l'analyse des problèmes moraux. Ces arguments contre les fondements rationnels de la morale sont devenus des arguments anti-réalistes : pour un fait moral, être un fait réel existant dans le monde et être une source intrinsèque de motivation sont deux choses entièrement différentes. Il n'y a donc aucune raison de croire en la réalité des faits moraux



et pour Rousseau
(source http://www.chez.com/philosophie/cours/rousseau/rousseau.htm)

L'état de nature selon Rousseau
Aux yeux de Rousseau, l'état de nature est comme un état de dispersion. L'homme est seul, il se passe entièrement du secours de ses semblables, l'homme n'est donc pas social par nature, il n'est pas naturellement porté à s'unir avec ses semblables, en tout cas, pas durablement.Mais si l'homme primitif est asocial, il n'est pas pour autant antisocial. Bref, l'homme primitif est tout simplement indépendant, les hommes n'ont presque pas de relations entre eux, l'inégalité entre les hommes est presque nulle.

mercredi 17 octobre 2007

pour Montesquieu

article pertinent (et bref!) sur les lettres persanes

http://fr.wikipedia.org/wiki/Lettres_persanes

et pour Montesquieu, un détour par le site de l academie francaise s impose


http://www.academie-francaise.fr/immortels/base/academiciens/fiche.asp?param=178

quelques photos...

... de Troglodytes sur la page wikipedia

http://fr.wikipedia.org/wiki/Troglodyte

dimanche 14 octobre 2007

pour Samuel et les autres ...

Merveilleux: Le merveilleux implique un monde qui s'oppose au monde réel sans en détruire la cohérence, car le lecteur ne s'interroge jamais sur l'existence des événements surnaturels, sachant bien qu'il ne doit pas les prendre au sérieux. Contrairement au fantastique, le merveilleux ne provoque ni choc ni inquiétude.
Exemple: Le monde des contes de fées.


(source : web)

l orientalisme

voici un lien pour un site avec de nombreuses illustrations, a regarder pour eclaircir les propos tenus en classe

http://fr.wikipedia.org/wiki/Orientalisme

lundi 8 octobre 2007

pour ceux qui veulent s entrainer ...

voici une nouvelle serie de 12 exercices en qcm !

bon courage

http://users.skynet.be/courstoujours/Figures/Sommaire.htm

jeudi 4 octobre 2007

precisions pour Pythagore

d apres Serge Mehl

Selon certains auteurs ( ci-après), Pythagore, ou plus certainement ses disciples de l'école de Crotone, auraient affirmé la sphéricité de la Terre tournant autour du Soleil. Cette théorie héliocentrique (le Soleil est au centre de notre système planétaire) fut invalidée par Eudoxe et Aristote et bien que défendue par le grand astronome Aristarque un siècle et demi plus tard, le non moins célèbre Ptolémée prôna le géocentrisme (la Terre est au centre de l'Univers, le Soleil tourne autour) et plongea le monde dans l'erreur pendant 2000 ans jusqu'à l'entrée en scène de Galilée et de Copernic.

Nouveau Larousse illustré en 7 volumes (1906, sous la dir. de Paul Augé), vol. 1, au titre Astronomie : "Pythagore enseignait les deux mouvements de la Terre sur elle-même et autour du Soleil; il avait des vues élevées sur les systèmes planétaires mais elles manquaient de preuve, et leur vérité fut complètement méconnue."

Dictionnaire Hachette encyclopédique (1997) : "il entrevit le mouvement de la Terre sur elle-même et enseigna qu'elle était sphérique".

Astronomie moderne de R. Tocquet, préface de Louis Leprince-Ringuet (1965) : "(...) il est difficile de préciser parmi les doctrines pythagoriciennes, celles qui appartiennent en propre au Maître? Quoi qu'il en soit, les Pythagoriciens enseignaient que la Terre et le Soleil sont sphériques, que le Soleil décrit sur la sphère céleste un grand cercle, l'écliptique, dont le plan est incliné sur celui de l'équateur et il y a tout lieu de penser qu'ils enseignaient également que les planètes et les comètes tournent autour du Soleil."

Pythagore et les Pythagoriciens (que sais-je n° 2732) de J.-F.- Mattei (1993) : "Pythagore enseignait la sphéricité de la Terre et du Monde non pour des raisons empiriques (comme les contours de l'ombre durant les éclipses) mais pour des raisons théoriques d'ordre harmonique, le plus beau des solides étant la sphère." : Pythagore parlait de la musique des sphères (les astres) que nous n'entendions pas car notre oreille, trop habituée, ne parvenait pas à les discerner...

mise au point historique sur l heliocentrisme

source : wikipedia


L'héliocentrisme est une conception du monde et de l'Univers qui place le Soleil en son centre. Malgré quelques précurseurs, comme Aristarque de Samos, on attribue en général le principe de l'héliocentrisme à Copernic. Ses résultats furent complétés par Kepler et Galilée. L'idée que le Soleil ne soit que le centre du système solaire et que l'Univers n'en ait pas, apparaît dans les écrits du moine Giordano Bruno.
À partir du XVIIe siècle, cette conception scientifique devint progressivement la représentation du monde communément adoptée en occident : en 1687, Isaac Newton découvrit la formulation mathématique qui décrit les forces de gravitation, ce qui permit d'expliquer les trajectoires elliptiques des planètes autour du Soleil. Au début du XVIIIe siècle, les observations confirmèrent définitivement la théorie de la gravitation, ce qui permit de donner une explication plus satisfaisante aux phénomènes astronomiques alors observés.
La théorie de l'héliocentrisme s'est opposée à la théorie du géocentrisme, lors de la controverse ptoléméo-copernicienne, entre la fin du XVIe siècle et le début du XVIIIe siècle : l'héliocentrisme fut l'objet d'interdits religieux, en 1616. Galilée fut condamné en 1633 pour son livre le dialogue sur les deux grands systèmes du monde (sa peine fut commuée en assignation à résidence par Urbain VIII). Les interdits furent levés en 1741 et 1757 par Benoît XIV.

mercredi 3 octobre 2007

definition du burlesque pour Cyrano

une bonne adresse avec un contenu bref et precis


http://fr.wikipedia.org/wiki/Burlesque

mardi 2 octobre 2007

pour Laura

La synecdoque
est une figure de rhétorique qui consiste à prendre le plus pour le moins, la matière pour l’objet, l’espèce pour le genre, la partie pour le tout, le singulier pour le pluriel, ou inversement.
Exemple : les mortels pour les hommes, le fer pour l’épée.

La métonymie
est une substitution fondée sur un rapprochement d’ordre logique. On désigne ainsi l’abstrait par le concret, l’effet par la cause, le contenu par la contenant, la partie pour le tout.
Exemple : un Harpagon pour un avare, un tartufe pour un imposteur. Refroidi pour tué. Boire un verre. Le maillot jaune du Tour de France

en attendant les copies ...

Amphigouri et Oxymoron
par Gilles Schlesser



Elles portent des noms aussi délicieux que barbares : anacoluthe, épiphore, hyperbate, épanadiplose, oxymoron, synchise, tmèse, zeugma…
Comme Monsieur Jourdain, nous les employons sans connaître leur nom ; elles fleurissent dans les spots TV, sur les affiches, dans la presse.
En général, les figures de rhétorique sont définies comme un écart de langage destiné à susciter la surprise, l'émotion, le sourire. C'est l'unique but de ce petit exercice, sans aucune prétention linguistique.

Acronyme
Groupe d'initiales abréviatives lexicalisées :
Sur téèfin, Pépédéa titra sur les achélèmes
Acrostiche
Exercice consistant à créer des phrases dont les premières lettres forment un mot.

A ma connaissance
Ce procédé n'est pas utilisé dans la pub
Rare, long, compliqué
On l'imagine mal en signature
Sous un logotype
Tout de même
Il serait temps de réhabiliter
Cette figure
Hautement
Estimable

Adynaton
Prenez une hyperbole moyenne et juchez la sur un tabouret. Radieuse, votre hyperbole devient immédiatement un adynaton, c'est-à-dire une exagération extrême :
Avec un nez pareil, il peut fumer sous la douche…

Allitération
L'allitération est une répétition de sons identiques dans une suite de mots :
Je vais vous faire un aveu. J'adore les vœux. J'en reçois en veux-tu en voilà, ça fait même des envieux. C'est beau, les vœux. Sauf ceux de mon neveu, il me met toujours tous mes vœux, vieux !

Amphibologie
Très louche, l'amphibologie. S'il existe une ambiguïté due au désordre des mots ou si un texte se laisse décoder avec plus d'un sens, pas de doute, vous la tenez :
Seulement les rédacteurs ou tous les rédacteurs sont-ils des écrivains refoulés ?

Amphigouri
L'amphigouri est généralement assez mal vu dans les agences de publicité. Il s'agit en effet d'un texte absurde ou galimatias :
Huiléa. L'huile qui n'a pas peur de rester dans sa bouteille.

Cependant, certains grands rédacteurs n'ont pas peur de s'y frotter avec succès, en particulier auprès des jeunes :
C'est frais mais c'est pas grave.

Anacoluthe
Ce vocable (usuel chez le capitaine Haddock) désigne une rupture dans la construction d'une phrase. La phrase commencée s'arrête en chemin pour faire place à une autre, sans souci d'une suite rigoureuse de la pensée ou d'une suite grammaticale dans la phrase :
Les vœux, les vœux, ça devient n'importe quoi, je me demande si Gilles n'a pas perdu son écharpe jaune…

Pour les fanatiques de l'anacoluthe, signalons l'anantapodoton, variété dans laquelle un des termes d'une expression alternative manque.

lundi 1 octobre 2007

Cyrano bis

voici un site fort bien concu sur notre homme :

http://www.levraicyrano.com/

Cyrano

attention a ne pas confondre notre Cyrano et celui presente par Edmond Rostand dans sa celebre piece de theatre : mème si l original a inspire celui du dramaturge, de graves differences sont a observer
je ne resiste pas a l envie de vous faire partager la plus celebre page de la piece de Rostand, un monument de la litterature francaise

Vous, vous avez un nez ... heu ... un nez très grand.
CYRANO (gravement):Très.
LE VICOMTE (riant):Ha!
CYRANO (imperturbable):C'est tout?
LE VICOMTEMais ...
CYRANO Ah! non! c'est un peu court, jeune homme!
On pouvait dire: 'Oh! Dieu!' et bien des choses en somme,
En variant le ton, - par exemple, tenez
Agressif: "Moi, monsieur, si j'avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champs que je me l'amputasse!"
Amical: "Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap!"
Descriptif: "C'est un roc! c'est un pic! c'est un cap!
Que dis-je, c'est un cap? C'est une péninsule!"
Curieux: "De quoi sert cette oblongue capsule?
D'écritoire, monsieur, ou de boîtes à ciseaux?"
Gracieux: "Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes?"
Truculent: "Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu'un voisin ne crie au feu de cheminée?"
Prévenant: "Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol!"
Tendre: "Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane!"
Pédant: "L'animal seul, monsieur, qu'Aristophane
Appelle Hippocampelephantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d'os!"
Cavalier: "Quoi, l'ami, ce croc est à la mode?
Pour pendre son chapeau, c'est vraiment très commode!"
Emphatique: "Aucun vent ne peut, nez magistral,
T'enrhumer tout entier, excepté le mistral!"
Dramatique: "C'est la Mer Rouge quand il saigne!"
Admiratif: "Pour un parfumeur, quelle enseigne!"
Lyrique: "Est-ce une conque, êtes-vous un triton?"
Naïf: "Ce monument, quand le visite-t-on?"
Respectueux: "Souffrez, monsieur, qu'on vous salue,
C'est là ce qui s'appelle avoir pignon sur rue!"
Campagnard: "Hé, ardé! C'est-y un nez? Nanain!
C'est queuqu'navet géant ou ben queuqu'melon nain!"
Militaire: "Pointez contre cavalerie!"
Pratique: "Voulez-vous le mettre en loterie?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot!"
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot "
Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l'harmonie! Il en rougit, le traître!"
-Voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d'esprit
Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n'avez que les trois qui forment le mot: sot!
Eussiez-vous eu, d'ailleurs, l'invention qu'il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n'en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d'une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu'un autre me les serve